
La virtualisation

Qu'est-ce que la virtualisation ?
Définition :
La virtualisation est un ensemble des technologies matérielles et/ou logicielles qui permettent de faire
fonctionner un ou plusieurs systèmes d'exploitation (Windows 7,8,10, Linux, Mac OS)
ou plusieurs applications sur une même machine (Ordinateur), séparément
les uns des autres, comme s'ils fonctionnaient sur des machines
physiques distinctes, grâce au logiciel de virtualisation (Oracle Virtuabox, VMware, Hyper-V).
Un serveur physique, c’est :
-
Un ordinateur,
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sur lequel est installé un OS (Windows, Linux, Unix, … voir la notion d’OS : c’est quoi un OS ?)
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sur lequel sont installés un ou plusieurs rôles qui vont rendre des services (voir : c’est quoi un service?).
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une ou plusieurs cartes réseau pour pouvoir communiquer avec les autres ordinateurs,
-
(je vous rappelle qu’il n’est pas nécessaire d’avoir un clavier et un écran de connecté à cet ordinateur)
Les avantages de la virtualisation de postes de travail :
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Economie -> Le fait de remplacer les PC classiques par des points d’accès permet de diminuer les coûts de possessions.
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Ecologie -> Le VDI permet de faire des économies d’énergie (extinction programmée de tout le parc). Un PC lourd consomme 100 Watt, un point d’accès seulement 20 Watt, globalement la virtualisation des postes de travail permet jusqu’à 80% d’économie d’énergie, argument intéressant dans le cadre d’une démarche RSE.
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Simplicité -> Le VDI permet de faciliter le travail du service informatique : centralisation de la gestion du parc, création d’une image pour 100 ou 200 utilisateurs par exemple, la maintenance est donc très facilité.
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Sécurité -> Le VDI permet l’homogénéité du parc informatique, possibilité de faire des machine Read Only -> retour à l’état du Master à chaque démarrage donc plus aucun virus à chaqu démarrage.
Le 26 Avril 2018: Juniper cible les datacenters hybrides avec Contrail Enterprise Multicloud
C'est un fait : aujourd'hui, la plupart des responsables de datacenters d'entreprise travaillent dans des environnements de cloud hybride. Le logiciel Contrail Enterprise Multicloud que Juniper Networks s'apprête à livrer, fruit de plusieurs années d'expertise dans le domaine des réseaux SDN, doit permettre de surveiller et de gérer les charges de travail et les serveurs déployés sur les réseaux et l'infrastructure cloud de plusieurs fournisseurs.
Si pour des raisons d'efficacité opérationnelle et d'optimisation de coûts, les entreprises se tournent aujourd’hui vers le cloud, la plupart des grands groupes exploitent des environnements hybrides, ce qui complique nettement la gestion de l'infrastructure IT. Le produit Contrail Enterprise Multicloud de Juniper dévoilé en décembre 2017 lors de l’événement NXTWORK et dont la sortie devrait être échelonnée sur les 5 prochains mois, part avec deux handicaps : d’abord, il va se heurter à la concurrence des multiples outils de mise en réseau et d'orchestration multicloud proposés par les principaux acteurs du datacenter, comme NSX de VMware, ACI de Cisco et OneSphere de HPE. Ensuite, la présence de Juniper dans le datacenter n'est pas comparable à celle de certains de ses rivaux, Cisco en particulier.

Le 17 Avril 2018: Nokia mise sur NSP et DeepField pour les réseaux autonomes
Après plusieurs années d'intenses discussions autour du SDN et du NFV, les opérateurs et les équipementiers se retrouvent cette fois sur les réseaux autonomes avec des propositions plus ou moins matures chez Cisco, Juniper, Huawei ou Nokia.
Comme tous les ans, le salon MPLS/SDN.NFV, du 10 au 13 avril à Paris, a rassemblé tous les acteurs du réseau travaillant sur ces sujets. L’occasion de rencontrer des experts au fait des dernières tendances dans le monde de la connexion et de l’interopérabilité. Les Allemands de EANTC étaient par exemple de nouveau présents pour assurer des démonstrations sur un datacenter particulièrement hétérogène. On retrouvait pour ces tests d’interopérabilité les équipements de routage de 21 équipementiers avec, notamment, Arista Networks, Cisco, Ericsson, Huawei, Juniper Networks, Nokia ou encore ZTE. Les tests ont porté sur la création d’un réseau privé virtuel Ethernet ou le déploiement d’un SDN. Une belle vitrine censée démontrer que les fournisseurs travaillent bien ensemble grâce à l’utilisation de protocoles standards. Mais les leaders du marché jouent souvent les francs-tireurs en expliquant que certaines fonctionnalités avancées – dans le domaine de la virtualisation - ne sont disponibles qu’avec des équipements spécifiques associés à un logiciel dédié.

Le 21 Février 2018: Conférence CIO sur le SDx : PMU, Société Générale et Veolia ont témoigné
La rédaction de CIO a organisé le 13 février à Paris une conférence sur le Software Defined Everything, en partenariat avec Athéo IDF, Nutanix, Riverbed, Veritas Technologies et Dimension Data avec VMware. PMU, Nigay, Société Générale, Veolia, Nexity et les ministères de l'Agriculture et de l'Environnement ont apporté leurs témoignages.
Au Centre d'Affaires Paris-Trocadéro, le 13 février 2018, la CIOnférence « Software Defined Everything : tout virtualiser pour gagner en agilité » a réuni les témoignages d'entreprises ayant adopté cette stratégie technique ainsi que des interventions d'experts. CIO a organisé cette conférence en partenariat avec Athéo IDF, Nutanix, Riverbed, Veritas Technologies et Dimension Data avec VMware. Le PMU, Nigay, la Société Générale, Veolia, Nexity et les ministères de l'Agriculture et de l'Environnement ont chacun témoigné de leurs choix allant vers le SDx ou, plus loin encore, vers le cloud public.

Le 02 Février 2018: Lenovo armé pour percer dans les datacenters
Le serveur cloud hybride hyperconvergé taillé pour l'environnement Azure fruit du partenariat entre Lenovo et Microsoft, ThinkAgile SX, arrive en France. Au niveau mondial, le constructeur chinois a vu les revenus de son activité datacenter progresser au deuxième trimestre de 16,7% avec des revenus de 1,2 milliard au plus haut depuis deux ans.
Dans la tête de nombreux DSI, Lenovo est surtout connu pour ses PC, tablettes et smartphones. S'il est vrai que cette activité constitue une large part des revenus du constructeur chinois (9,3 milliards de dollars sur 12,9 au 3e trimestre 2017), il serait aller vite en besogne de restreindre le champ d'activité de la société au seul registre des matériels end-user. Très en retard, voire quasi inexistant au niveau mondial sur la partie infrastructures où il est pourtant actif depuis 15 ans, le groupe a frappé fort en 2014 avec le rachat de l'activité serveurs x86 d'IBM.

Le 30 Janvier 2018: Intent-based networking : Cisco cherche à réinventer le réseau avec l'IA et l'analytique
Quelques mois après la présentation de son programme intent-based networking, Cisco complète sa panoplie d'outils analytiques pour aider les administrateurs à identifier et résoudre plus rapidement les problèmes détectés sur les réseaux câblés et sans fil, reposant sur du matériel maison.
En direct de Barcelone - Poursuivant la transformation engagée pour passer d’une entreprise centrée sur le matériel à un fournisseur intégré axé sur le matériel et les logiciels, Cisco a profité de son événement annuel européen – Cisco Live du 29 janvier au 2 février à Barcelone - pour déployer une gamme de produits et services (Network Assurance Engine, DNA Center Assurance et Meraki Wireless Health) pour les datacenters et le cloud. Cette génération d’outils repose sur ce que l’équipementier appelle intent-based networking (IBN) où le logiciel vient aider à planifier, concevoir et mettre en œuvre et/ou exploiter des réseaux plus agiles grâce aux progrès accomplis dans les algorithmes d'apprentissage machine et d‘intelligence artificielle.

Le 30 Janvier 2018: Le scénario inattendu du rachat de Dell par VMware
Alors qu'en fin de semaine dernière Bloomberg évoquait un possible rachat de VMware par Dell, de nouvelles sources proches du dossier, reprises par CNBC, feraient état d'une fusion inversée entre les deux acteurs. Une rumeur qui n'a pas plu aux investisseurs qui ont lourdement sanctionné en bourse l'action du spécialiste en virtualisation.
Depuis l'annonce en fin de semaine dernière du possible retour de Dell en bourse et d'une éventuelle montée à 100% au capital de VMware, les spéculations vont bon train. La dernière en date, en provenance de CNBC d'après des « sources proches du dossier », fait cependant état d'un scénario inattendu, à savoir celui d'un rachat de Dell par... VMware. « La fusion inversée, par laquelle VMware achèterait Dell, permettrait alors à Dell d'être coté sur le marché sans passer par une demande formelle. Ce serait probablement la plus grosse transaction de l'histoire de l'industrie technologique, donnant aux investisseurs qui ont soutenu la décision de Dell de devenir privé en 2013 un moyen de monétiser leur transaction, tout en aidant Dell à rembourser une partie de sa dette d'environ 50 milliards de dollars », explique CNBC.

Le 17 Janvier 2018: Software Defined Everything : Les DSI du PMU et de Veolia témoignent
Le 13 février 2018 à Paris, notre confrère CIO organise une conférence dédiée au « Software Defined Everything ». Du réseau au stockage en passant par le serveur, les infrastructures définies par le logiciel montent en puissance. Pour en parler, les DSI de Veolia et du PMU ainsi que le directeur applicatifs métiers et production IT à la direction du digital de Nexity.
L'approche « Software Defined Everything » sera le sujet de la Conférence CIO du 13 février 2018 à Paris. Comme les autres conférences que CIO organise, elle amènera des DSI à témoigner et des experts à présenter technologies et méthodes. Quelles technologies, justement, sont-elles disponibles ? Dans quel cadre ? Pour quel objectif et sous quelles conditions ? Un Grand Témoin, DSI de très grand compte, témoignera certes de ses pratiques mais accompagnera l'ensemble de la matinée pour éclairer de sa vision tous les thèmes abordés.

Le 24 Novembre 2017: Veeam étend sa sauvegarde aux systèmes AIX et Solaris
Le spécialiste de la sauvegarde/restauration en environnement virtualisé Veeam étend ses capacités à d'autres systèmes d'exploitation pour les applications critiques. A travers un partenariat noué avec Christie Software, il ajoute des offres pour AIX et Solaris aux solutions qu'il proposait déjà pour Linux et Windows.
De nombreuses bases de données et applications critiques continuent à tourner, sans doute pour longtemps, sur des systèmes sous AIX d’IBM ou Solaris d’Oracle. Pour prendre en compte ces OS dans ses solutions de sauvegarde et de restauration des workloads physiques, Veeam s’appuie sur un partenariat technologique avec Christie Software. Les logiciels de cet éditeur spécialisé dans les solutions de continuité d’activité sont utilisés par plus de 3000 clients dans le monde sur des systèmes AIX et Solaris.

Le 08 Novembre 2017: Orange et Red Hat collaborent autour d'OpenStack et du NFV
Orange déploie massivement la plateforme OpenStack de Red Hat dans sa transition vers la virtualisation des fonctions du réseau. Les deux fournisseurs collaborent autour du projet open source BGP VPN pour l'interconnexion de services IaaS, datacenters et réseaux d'entreprise en NFV.
L’opérateur français Orange s’appuie sur la plateforme OpenStack de Red Hat pour faire évoluer son infrastructure vers la virtualisation des fonctions du réseau (NFV). Dans le cadre de cette transformation, les deux fournisseurs collaborent autour d’un programme technologique commun qui permettra aux fournisseurs de services de télécommunications de faire évoluer la technologie de leur réseaux de façon spécifique. Orange et Red Hat poursuivent ici un double objectif. Il s’agit d’une part d’améliorer la prise en charge des fonctions NFV dans OpenStack et d’autre part de contribuer à plusieurs projets open source. Leur collaboration a récemment débouché sur l’intégration du projet OpenStack BGP VPN et sur sa mise en oeuvre BaGPipe pour laquelle Orange est le principal contributeur. BGP VPN doit permettre aux opérateurs d’interconnecter des services IaaS, des datacenters et des réseaux d’entreprise en NFV en s’appuyant sur des technologies de routage standards.

Le 09 Octobre 2017: Le SDS promis à une croissance de 13% jusqu'en 2021
Selon IDC, le marché du stockage défini par logiciel est promis à une croissance de plus de 13% par an jusqu'en 2021. Le sous-segment des infrastructures hyperconvergées contribuera largement à ce dynamisme.

Un changement de fond s'opère sur le marché du stockage. Alors que le secteur connaît une baisse globale de son chiffre d'affaires (-7,8% à 6,5 Md$ au quatrième trimestre 2017), le segment du SDS (Stockage défini par logiciel) se porte à merveille. Selon IDC, il devrait connaître une croissance annuelle moyenne de 13,5% entre 2017 et 2021 et voir ainsi ses revenus représenter 16,2 Md$ à la fin de cette période. « Pour les entreprises qui opèrent leur transformation digitale, le SDS délivre les capacités dont elles ont besoin, à savoir de l'agilité, une administration plus simple et plus intuitive, et des coûts moins importants », explique Eric Burgener, analyste chez IDC.
Le 27 Septembre 2017: Atos au coeur d'une alliance NFV avec Dell EMC, Intel, Juniper, Red Hat et VMware
Dell EMC, Intel, Juniper Networks, Red Hat, VMware ainsi qu'Atos ont conclu une alliance visant à accélérer les projets en virtualisation des fonctions réseaux. Un centre commun regroupant des expertises de chaque fournisseur dans le NFV a été constitué à Echirolles chez Atos.
La virtualisation des fonctions réseaux (ou NFV pour Network functions virtualisation) - à ne pas confondre avec le plus global SDN - est en pleine expansion. Selon le cabinet d'études IHS Markit, ce marché devrait en effet atteindre 15,5 milliards de dollars à horizon 2020. Afin de ne pas passer à côté de ces juteuses perspectives, 6 poids lourds de l'industrie IT ont uni leurs forces pour accélérer la réalisation de projets par les entreprises. Cette alliance regroupe ainsi autour d'AtoS les fournisseurs Dell EMC, Intel, Juniper Networks, Red Hat ainsi que VMware. « Cette alliance est née d'une vision commune autour d'un objectif unique, celui d'aider nos clients mutuels à tirer profit de dépenses d'investissement et d'exploitation réduites et d'une agilité commerciale accrue », indique un communiqué de presse d'Atos.

En direct de Barcelone. Après l'intervention de Société Générale sur sa stratégie multicloud, la société Nigay, spécialisée dans la production de caramel aromatisé pour l’industrie agroalimentaire, a témoigné de son utilisation des technologies VMware sur VMworld 2017. Installé à Feurs dans la Loire, le fabricant, qui produit 250 000 tonnes de caramel par an, doit s’adapter aux demandes des industriels avec près de 400 références produits. Faouzi Sefsaf, responsable des systèmes d'informations chez Nigay, nous a présenté le projet mis en oeuvre avec VMware et l’intégrateur Soluceo pour décloisonner le travail au niveau des équipes. Nigay emploie 200 personnes sur un seul site, actif 6 jours sur 7. Deux infrastructures coexistaient jusqu’à présent : Celle dédiée à la production industrielle et celle sous VMware réservée aux ressources administratives. « Le projet a consisté à trouver des outils pour décloisonner les deux équipes avec une supervision complète sur toute la ligne de provisionnement. »

Le 14 Septembre 2017: Nigay décloisonne ses infrastructures avec VMware
Spécialisé dans la fabrication de caramel, la société Nigay a refondé son infrastructure pour réconcilier la partie production industrielle et les outils administratifs avec le concours de solutions proposées par VMware.
Le 29 Août 2017: Windows Server 2016 propose 2 modes de mise à jour : rapide et lent
Suivant les entreprises, le rythme d'évolution de l'OS serveur de Microsoft s'avérait trop lent ou trop rapide. Avec la version 1709 de Windows Server 2016 qui sera lancé fin septembre sur Ignite, l'éditeur de Redmond proposera parallèlement deux circuits de mise à jour. L'un s'inscrit sur le long terme, l'autre est semi-annuel.

Le 28 Août 2017: VMworld 2017 : VMware Cloud disponible sur AWS
Créé pour encourager le développement d'outils open source pour les applications cloud-ready, la Cloud Native Computing Foundation (CNCF) ajoute un autre projet open source à sa panoplie. Container Network Interface propose des plug-ins permettant de configurer des interfaces réseaux dans des containers Linux.

Annoncé lors de la précédente édition de VMworld et disponible depuis en bêta fermée, l'offre de Software Defined Datacenter (SDDC) de VMware sur le cloud AWS est désormais disponible pour tous les clients. L'annonce de cette disponibilité a été faite sur VMworld 2017, l'événement américain du spécialiste en virtualisation VMware qui se tient en ce moment à Las Vegas (du 27 au 31 août). « VMware Cloud sur AWS apporte aux clients un cloud hybride parfaitement intégré qui offre la même architecture, les capacités et l'expérience opérationnelle à la fois dans leur environnement local basé sur vSphere et AWS », a indiqué Pat Gelsinger, CEO de VMware.
VMware Cloud sur AWS repose sur la plateforme SDDC du spécialiste en virtualisation, intégrant les briques vSphere (serveur), vSAN (stockage) et NSX (réseau), couplées à la console de supervision vCenter. Par ailleurs, 6 modules cloud sont proposés : Discovery, AppDefense, Cost et Network Insight, NSX Cloud ainsi que Wavefront. Cette offre, qui fonctionne sur des instances AWS dédiées, est pour l'instant proposée uniquement sur la zone géographique US West Oregon du géant du cloud et sera étendu à l'ensemble des régions en 2018.
Le tarif à la demande par hôte (2 CPU, 512 Go de RAM et 3,6 To de flash) de VMware Cloud sur AWS s'élève à 8,36 dollars l'heure. Des abonnements sur 1 et 3 ans seront également disponibles avec des réductions par rapport au prix à la demande allant jusqu'à 50%.
Le 06 Juin 2017: Discover 2017 : Des firmwares sécurisés sur les serveurs Proliant Gen10 de HPE
A l'occasion de sa conférence Discover 2017 (du 6 au 8 juin à Las Vegas), Hewlett Packard Enterprise annonce des technologies de protection pour ses serveurs Proliant Gen10 passant par la sécurisation du firmware. Le fournisseur présente aussi des avancées sur son architecture composable définie par logiciel, ainsi que sur ses technologies de mémoire persistante.

La concurrence est forte sur le marché des systèmes convergés et hyper-convergés pour datacenters, mais HPE est en ce moment en pole position sur les infrastructures composables. Ces dernières permettent aux administrateurs de datacenters de déployer les ressources d’infrastructure par logiciel, rappelle l’analyste Patrick Moorhead, fondateur du cabinet Moor Insights and Strategy. Ce mode de fonctionnement a été mis en place initialement sur la famille de serveurs Synergy de HPE.
Le 26 Mai 2017: La CNCF pousse les interfaces réseaux dans les containers Linux
Créé pour encourager le développement d'outils open source pour les applications cloud-ready, la Cloud Native Computing Foundation (CNCF) ajoute un autre projet open source à sa panoplie. Container Network Interface propose des plug-ins permettant de configurer des interfaces réseaux dans des containers Linux.

Le 22 Mai 2017: Le SDN open source de Juniper embrasse les containers
Désormais pleinement intégrée à AppFormix, la plateforme de réseau définie par logiciel de Juniper Networks, Contrail Networking, embarque des fonctions de supervision dopées au machine learning. Par ailleurs, pour faciliter son déploiement, Juniper a packagé Contrail Networking dans des containers.

Pour l’heure, aucune contamination en bonne et due forme n’a été recensée au sein des services publics polynésiens, mais en début de semaine, de 2 000 à 3 000 courriels contenant le logiciel d’extorsion auraient été bloqués par les antivirus centraux du Pays, avant qu’ils arrivent dans les boîtes aux lettres des personnels de l’administration.
Cette attaque serait donc sans précédent au fenua, selon Emmanuel Bouniot, chef par intérim du service informatique du Pays, à pied d’œuvre dès samedi dernier, au matin, pour limiter les risques de contamination.
“Ce virus a été pris en considération de manière sérieuse, puisqu’au niveau du Pays, un certain nombre de directives ont été données, notamment sur la fermeture des portes d’accès au réseau de l’administration, précisait hier le ministre en charge du Numérique. Il a même fallu arrêter pendant plusieurs jours les relations intranet et les possibilités de correspondance entre
Le 18 Mai 2017: Une autre attaque informatique massive dans la foulée de WannaCry
/2017 - Après WannaCry, une autre attaque informatique massive a été découverte en début de semaine: Adylkuzz exploite les mêmes failles de sécurité que WannaCry, et enrichit les pirates en créant de la monnaie virtuelle.

"On ne connaît pas encore l'ampleur (des dégâts) mais des centaines de milliers d'ordinateurs" pourraient avoir été infectés, a indiqué à l'AFP Robert Holmes, vice-président Produit chez Proofpoint, qui assure que l'attaque est "de bien plus grande envergure" que WannaCry et a débuté avant cette dernière, le 2 mai, voire le 24 avril.
Proofpoint affirme avoir d'ailleurs détecté Adylkuzz en enquêtant sur WannaCry, ce virus qui a frappé de très nombreux ordinateurs en fin de semaine dernière, paralysant notamment les services de santé britanniques et des usines du constructeur automobile français Renault.
Concrètement, Adylkuzz s'introduit dans des PC vulnérables grâce à la même faille de Windows utilisée par WannaCry, un problème détecté par la NSA (l'agence de sécurité nationale américaine) mais qui a fuité sur le net en avril. La divulgation des données avait été revendiquée par le groupe de pirates "Shadow brokers".
Le "malware" exploite alors l'ordinateur contaminé pour créer, de façon
invisible, des unités d'une monnaie virtuelle appelée Monero, comparable au Bitcoin. Même si le Bitcoin, la plus connue des monnaies virtuelles, garantit un fort anonymat à ses utilisateurs, ses transactions restent traçables. Monero va elle encore plus loin dans l'opacité, puisque la chaîne de transactions est complètement cryptée, ce qui en fait un outil prisé des pirates. Avec Adylkuzz, les ordinateurs créent de la monnaie, "ce n'est pas de l'argent qui est volé" à qui que ce soit, résume Gérôme Billois, expert au cabinet Wavestone.
Le 18 Mai 2017: LE VIRUS WANNACRY DÉTECTÉ DES MILLIERS DE FOIS AU FENUA
“Cette cyberattaque a touché la Polynésie française.” Le porte-parole du gouvernement polynésien, Jean-Christophe Bouissou, a confirmé hier que le fenua n’avait pas été épargné par le logiciel malveillant WannaCry, qui a défrayé la chronique en affectant, dès les premières heures de sa mise en circulation, vendredi dernier, plus de 200 000 ordinateurs du monde entier.

Pour l’heure, aucune contamination en bonne et due forme n’a été recensée au sein des services publics polynésiens, mais en début de semaine, de 2 000 à 3 000 courriels contenant le logiciel d’extorsion auraient été bloqués par les antivirus centraux du Pays, avant qu’ils arrivent dans les boîtes aux lettres des personnels de l’administration.
Cette attaque serait donc sans précédent au fenua, selon Emmanuel Bouniot, chef par intérim du service informatique du Pays, à pied d’œuvre dès samedi dernier, au matin, pour limiter les risques de contamination.
“Ce virus a été pris en considération de manière sérieuse, puisqu’au niveau du Pays, un certain nombre de directives ont été données, notamment sur la fermeture des portes d’accès au réseau de l’administration, précisait hier le ministre en charge du Numérique. Il a même fallu arrêter pendant plusieurs jours les relations intranet et les possibilités de correspondance entre
services et entre personnes pour vérifier que tout était ok.” La situation serait aujourd’hui revenue à la normale dans les administrations, mais une contamination future n’est toujours pas totalement à exclure, des courriels contaminés pouvant avoir atterri dans les boîtes e-mails avant la mise à jour des bases antivirales samedi matin.Appartenant à la famille des “ransomware”, ou “rançongiciels” dans le jargon français, le mode opératoire de WannaCry n’est pas nouveau : voler des fichiers informatiques, les rendre inutilisables, puis exiger une rançon des utilisateurs s’ils souhaitent les récupérer. Mais “celui-là est particulièrement méchant, parce c’est la conjonction entre un ‘ransomware’ contenu dans la pièce jointe d’un e-mail, qui rend l’ordinateur inutilisable, et un petit programme appelé ‘ver’, qui cherche toutes les connexions réseaux disponibles pour se propager en exploitant une faille de Windows”, détaille Emmanuel Bouniot.
Le 18 Mai 2017: IBM compte sur Nutanix pour pousser l'hyperconvergence sur ses systèmes Power
Big blue et Nutanix viennent d'annoncer un partenariat autour de solutions hyperconvergeantes basées sur l'architecture Power. Il va permettre à leurs utilisateurs de bénéficier de la plate-forme de l'éditeur dont sa solution de monitoring Prism et son hyperviseur AHV.

IBM se rapproche de Nutanix pour proposer une solution hyperconvergée sur ses systèmes Power. Grâce à un partenariat noué entre les deux sociétés, les utilisateurs de serveurs basés sur l’architecture Power, vont pouvoir profiter nativement des fonctionnalités proposées Nutanix. Ils pourront ainsi gérer l’ensemble de la stack (réseau, stockage, compute) avec la solution de monitoring Prism qui s’avère compatible avec l’hyperviseur maison AHV (basé sur KVM) mais aussi ESX (VMware), Hyper-V (Microsoft) et Xen (Citrix). Ils pourront aussi s’appuyer sur Acropolis Container Station pour la mise en place de micro-services.
Le 16 Mai 2017: EDT ENGIE a prévenu sa clientèle, notamment via Facebook, qu'elle était victime de mails frauduleux. EDT appelle à la vigilance.
Lundi, sur sa page Facebook, EDT ENGIE a tenu à avertir ses clients sur la circulation d’e-mails frauduleux visant à récupérer des données personnelles.

L'adresse "service@edt.pf" ne provient pas d'EDT ENGIE, ni de commerçants légitimes. Il ne faut donc surtout pas y répondre et ne pas cliquer sur les liens.
Le 12 Mai 2017: Puppet suit les charges de travail dans les conteneurs et le cloud
Le service annoncé par le fournisseur de solutions devops Puppet permet aux utilisateurs de savoir quelles tâches sont exécutées dans les conteneurs Docker. Puppet a également mis à jour son édition Enterprise.


Le 10 Mai 2017: OpenStack et VMware piliers du développement agile d'Amadeus
Selon le géant des services de réservation de voyages Amadeus son cloud sous OpenStack va lui apporter de la flexibilité et sera évolutif et très adapté pour le développement agile.
Le 04 Mai 2017: Docker remplace son CEO Ben Golub par le fondateur de Concur
Pour faire monter l'activité de Docker en puissance, l'éditeur de solutions de containers se choisit un autre CEO. Steve Singh, fondateur de la société Concur et ancien président de SAP Business Networks, remplace l'actuel CEO Ben Golub et reste en même temps président du conseil d'administration de Docker.

Le spécialiste de la conteneurisation Docker change de CEO. Ben Golub occupait ce poste depuis 2013, date à laquelle il a rejoint la société fondée par Solomon Hykes, actuel CTO. Il cède sa place au président du conseil d’administration de Docker, Steve Singh, chargé de faire monter l’activité en puissance à un moment clé de son développement sur le marché des logiciels d’entreprise. Steve Singh conservera aussi ses fonctions de président du board dont Ben Golub devient l’un des directeurs. Ce dernier annonce lui-même cette permutation dans un billet où il évoque des sentiments partagés.

Le 03 Mai 2017: Red Hat renforce sa plateforme de conteneurisation OpenShift
Red Hat ajoute à sa plateforme de conteneurisation, un IDE hébergé, des fondations pour les microservices et le support d'Amazon Services Web pour les clouds hybrides. Toutes ces annonces ont été faites pendant le Red Hat Summit qui se tient du 2 au 4 mai à Boston.

Le 02 Mai 2017: La NSA préconise la virtualisation pour sécuriser les smartphones
L'agence de sécurité américaine conseille désormais de sécuriser les smartphones en s'appuyant sur la virtualisation. Jusqu'ici, la NSA ne préconisait l'usage de cette technologie que sur les tablettes et les ordinateurs portables.
Le 28 Avril 2017: Nutanix : l'intégration de Docker affinée et celle de CalmIO bien avancée
Lors d'une session de prise en main sur les solutions Nutanix, nous avons pu voir le travail d'intégration réalisé par le fabricant de solutions d'hyperconvergence sur Docker et sa récente acquisition CalmIO.

Le 26 Avril 2017: Deloitte Tech Trends : Les 8 tendances IT 2017
Les huit Tech Trends 2017 de Deloitte mettent en avant l'exploitation des dark analytics, la progression des bots et de la réalité mixte, l'adoption des technologies de conteneurs dans les grandes entreprises pour décomposer le SI et les applications de la blockchain mises en oeuvre par les acteurs traditionnels de la banque et de l'assurance.

Le 25 Avril 2017: Bientôt une API pour faire communiquer les SD-WAN
Aujourd'hui, lors de la conférence ONUG Spring 2017 qui se tient du 25 au 26 avril à San Francisco, des ingénieurs réseaux et des vendeurs participant à l'initiative Open OW-WAN Exchange (OSE) lancée l'an dernier par l'Open Networking User Group (ONUG) livreront certains détails sur les progrès accomplis dans l'élaboration d'une API qui doit permettre aux SD-WAN, les réseaux étendus définis par logiciel, de différents fournisseurs de communiquer entre eux.

Le 20 Avril 2017: Un programme Docker pour migrer des applications vers des conteneurs
Le dernier programme de Docker permet de migrer sans effort des applications existantes vers un conteneur en cinq jours.

Le 18 Avril 2017: Monitoring cloud : VMware met la main sur Wavefront
VMware a annoncé le rachat de Wavefront, un éditeur proposant un service cloud permettant de collecter, analyser et visualiser toutes sortes de données, statistiques et logs par le biais de graphiques facilement compréhensibles par les métiers.

Utiliser des services cloud c'est bien, les surveiller c'est mieux. C'est sans doute ce qu'à dû penser VMware qui a décidé de mettre la main sur Wavefront, un éditeur spécialisé dans le monitoring d'applications et de services en environnement cloud. Wavefront est ainsi capable de collecter et d'analyser des données temps réel multi-formats et protocoles (CollectD, StatsD, JMX, Rubby's Logger, AWS...) et de permettre aux responsables informatiques - mais également métiers - de les visualiser au travers de graphiques pouvant facilement être interprétés.
Le 06 Avril 2017: Une faille critique dans l'hyperviseur Xen corrigée
Une vulnérabilité critique découverte dans l'hyperviseur Xen permet à des attaquants d'accéder au système d'exploitation invité et de lire la mémoire de l'hôte.

Une faille critique dans le très populaire hyperviseur Xen permet à des attaquants de s’introduire dans un système d'exploitation invité tournant à l'intérieur d'une machine virtuelle et d'accéder à toute la mémoire du système hôte. Cette violation grave de la barrière de sécurité de l'hyperviseur expose les datacenters multi-locataires où les serveurs virtualisés des clients partagent le même hardware sous-jacent. L'hyperviseur open source Xen est utilisé par des fournisseurs de cloud et des hébergeurs de serveurs privés, mais aussi par des systèmes d'exploitation sécurisés comme Qubes OS. Cette dernière vulnérabilité affecte les versions 4.8.x, 4.7.x, 4.6.x, 4.5.x et 4.4.x de Xen. Elle serait présente dans le code de base de Xen depuis plus de quatre ans. Elle a été introduite involontairement en décembre 2012 en même temps qu’un correctif destiné à résoudre un autre problème.

Le 30 Mars 2017: Veeam dans le viseur de HPE pour un rachat
Après SGI, Simplivity, Niara, Cloud Cruiser et Nimble Storage, racheté il y a peu pour 1,9 milliard de dollars, Hewlett Packard Enterprise s'intéresserait maintenant à Veeam. Ce spécialiste de la sauvegarde et de la restauration des infrastructures virtualisées intervient notamment sur les environnements VMware et Microsoft.
Les rachats successifs effectués par Hewlett Packard Enterprise montrent que le fournisseur américain conforte activement son portefeuille de produits d’infrastructures autour des systèmes hyperconvergés, du cloud et du stockage. Après SGI, Simplivity, Niara, Cloud Cruiser et plus récemment Nimble Storage (racheté pour 1,9 Md$), ce serait au tour de Veeam, fournisseur de solutions de sauvegarde et la restauration des environnements virtualisés, d’être examiné par HPE pour un éventuel rachat, selon des informations recueillies par le site britannique The Register. Veeam est en particulier spécialisé dans les environnements virtualisés VMware et Microsoft.
Le 27 Mars 2017: Microsoft va-t-il enfin racheter Citrix ?
Pour la énième fois, des rumeurs persistantes font état d'un possible rachat de Citrix par Microsoft. Au vu des synergies existantes entre les deux éditeurs et des difficultés que rencontre le premier face à VMware, la décision est dans la balance.

Citrix est en vente, ce n'est plus un secret pour personne. Et comme souvent, l'industrie IT se demande si l'éditeur de Fort Lauderdale va passer cette fois dans le giron de Microsoft. C'est en tout cas ce que laissent entendre, une fois de plus, des rumeurs de plus en plus persistantes outre-atlantique, rapportées par nos confrères d'ARN. Mais les avis sur l'avancement du projet divergent. Pour The Business Journal, la firme de Redmond est « juste un des principaux géants de l'IT courtisé par Citrix pour sa reprise ». Mais d'autres sources proches du dossier font quant à elles état de discussions bien plus avancées en coulisses.Avec une capitalisation boursière de 13,3 Md$, Citrix a toujours été qualifié de cible potentielle pour Microsoft, d'autant que son CEO actuel, Kirill Tatarinov est un ancien de Redmond. Et les similitudes ne s'arrêtent pas là entre les deux éditeurs.
Microsoft et Citrix travaillent ensembles depuis 25 ans. Ils comptent 230 000 clients communs à travers le monde, ce qui représente 10 millions de personnes qui utilisent quotidiennement leurs solutions combinées. Il faut dire que l'intégration de Windows 10, Office 365 ou encore Azure a été très poussée avec les solutions de Citrix, à savoir XenMobile, XenApp, XenDesktop, ShareFile ou encore NetScaler.
Le 17 Mars 2017: Orange étoffe ses services NFV avec Riverbed?
Collaborant déjà avec le fournisseur réseaux Riverbed portant sur son offre Business VPN, Orange Business Services franchit un pallier. Il étoffe ses services NFV en intégrant la solution SteelConnect de son partenaire.

Quand on parle de l'avenir des réseaux, impossible de passer sous silence le Software Defined Wide Area Network ou SD-WAN. Permettant de créer un réseau virtuel indépendant alliant qualité et performance des liens MPLS (Multiprotocol Labal Switching) aux prix des liens Internet, cette technologie réseau dispose de plusieurs atouts. Au premier rang desquels de router les flux métier en fonction de leur criticité (ce qui n'est pas le cas avec le MPLS) mais également de réagir instantanément en cas de dégradation de services. D'ici 2020, le marché du SD-WAN est estimé à 6 milliards de dollars par IDC. Sur ce créneau, plusieurs acteurs pure players sont présents dont Juniper, Silver Peak ou encore Riverbed. Ce dernier vient d'ailleurs d'apporter à Orange Business Services son offre SD-WAN SteelConnect qui va maintenant être rejoindre son portefeuille de solutions à coté de la plate-forme OpenContrail de Juniper.
Le 10 Mars 2017: 5G : Pourquoi Docker peut tout changer?
Définition de DOCKER:
A la base, un docker (anglicisme) ou le débardeur est un ouvrier portuaire, travaillant dans les docks, employé au chargement (des conteneur) et déchargement des navires arrivant au port. Mais pour notre cas nous allons parler des Dockers Linux qui a pour fonctionnalité de la base mais virtuellement.

Docker vient bousculer le modèle, jusqu’ici fermé, des grands clouds. Il pourrait permettre en effet de basculer une application entre les clouds d’Amazon, Google et Microsoft.
Docker permet d’embarquer une application dans un container virtuel qui pourra s’exécuter sur n’importe quel serveur. D’abord optimisé pour Linux, il l’est désormais pour Windows Server. C’est une technologie qui a pour but de faciliter les déploiements d’application, et la gestion du dimensionnement de l’infrastructure sous-jacente. Elle est en partie proposée en open source (sous licence Apache 2.0) par une société américaine, également appelée Docker, qui a été lancée par un Français : Solomon Hykes.
La virtualisation traditionnelle permet, via un hyperviseur, de simuler une ou plusieurs machines physiques, et les exécuter sous forme de machines virtuelles (VM) sur un serveur machine. Ces VM intègrent elles-mêmes un OS sur lequel les applications qu’elles contiennent sont exécutées. Ce n’est pas le cas du container. Le container fait en effet directement appel à l’OS de sa machine hôte pour réaliser ses appels système et exécuter ses applications. Historiquement, Docker repose sur le format de containers Linux, alias LXC. Il l’étend par le biais d’une API dans l’optique d’exécuter les applications dans des containers standards, qui sont donc portables d’un serveur Linux à l’autre.
Voir la suite sur le site (très intéressent).
Le 05 Mars 2017: Contiv 1.0 : Le projet network fabrique open source de Cisco certifié par Docker
Poussé par Cisco, le projet Contiv d'environnement réseau open source de déploiement de conteneurs Docker hétérogènes sur machine virtuelle, bare metal, cloud public et privé est arrivé en version 1.0. Il s'intègre notamment à la plateforme SDN Application Centric Infrastructure de Cisco.

Comme tous les grands noms de l'industrie IT (AWS, Microsoft, Google, VMware...), Cisco s'intéresse de près aux containers. Tellement près d'ailleurs qu'il a mis la main en août dernier sur ContainerX, une start-up spécialisée dans la gestion des environnements conteneurisés. Mais ce n'est pas tout puisque la société collabore avec Docker depuis plusieurs mois sur le projet open source Contiv permettant de déployer des containers au travers d'un environnement réseau interconnecté (network fabric).
Annoncée lors du dernier événement Ciso Live de Berlin fin février - où l'équipementier a mis un point d'honneur à convaincre les DSI des bienfaits du réseau défini par logiciel ou SDN (software defined network) et de la virtualisation des fonctions réseau ou NFV (network functions virtualization), la version 1.0 de Contiv est sortie du bois.
Proposée aussi bien en téléchargement sur Github que sur la boutique en ligne de Docker, Contiv 1.0 est taillé pour les déploiements de containers « au travers de machines virtuelles, bare-metal et des clouds public ou privés », peut-on lire dans un billet de blog de Cisco. « Contiv, avec ses modes Layer 2, Layer 3, overlay et ACI, intègre nativement l'infrastructure Cisco et permet de mapper les applications avec des capacités utilisant des règles de réseau et de sécurité riches. »
Le 02 Mars 2017: 5G : Les opérateurs commencent à cibler l'entreprise
Les nouveaux usages de la 5G ne sont pas encore bien arrêtés. Certes, il y a les services mobiles et l'IoT domestiques. Mais les opérateurs lorgnent aussi du côté de l'entreprise.


En direct de Berlin - Après l’édition américaine de Cisco Live, à Las Vegas en juillet dernier, retour dans la capitale allemande pour l’édition européenne de la manifestation. Cette dernière réunit cette année près de 12 000 clients, partenaires et employés de l’équipementier. Et bonne nouvelle, les débats sont un peu moins éthéré dans la transformation digitale même si l’industrialisation et l’automatisation des ressources réseau sont toujours au cœur des préoccupations de Cisco avec notamment le renforcement de la plate-forme DNA qui vient compléter les architectures ACI (Apic et Apic-em). A Berlin, la firme a également choisi de mettre l’emphase sur la sécurité, l’analytique et le collaboratif.
Le 22 Février 2017: Cisco Live : La virtualisation du réseau peine à convaincre les DSI
Avec 14% seulement des entreprises ayant entamées la virtualisation de leur réseau, Cisco bataille pour convaincre les DSI des bienfaits du SDN et du NFV. En complément de ses solutions ACI, l'équipementier mise sur sa plate-forme DNA pour accompagner la transformation digitale des entreprises.
Le 04 Février 2017: NSX s'ouvre aux environnements non VMware
Avec le lancement de NSX-T, VMware entend encourager les clients exploitant des hyperviseurs concurrents à utiliser la plate-forme de réseau virtuel issue du rachat de Nicira Networks.

Depuis le rachat de Nicira Networks en 2012, la plate-forme de virtualisation du réseau a considérablement évolué pour s’adapter aux besoins de VMware. Et après un recentrage sur les produits, l'éditeur se décide enfin à ouvrir sa solution avec deux versions : NSX pour vSphere 6.3, pour travailler étroitement avec les autres briques maison, et NSX-T 1.1, destinée à être utilisée dans des environnements cloud natifs qui ne sont peut-être pas contrôlés par les outils de gestion VMware.
Ces aménagements visent à étendre les cas d'utilisation de NSX et par ricochet la clientèle potentielle. 2 400 clients utilisent NSX selon VMware, dont 850 qui exécutent le logiciel en production. Et le chiffre d’affaire de la solution SDN approche le milliard de dollars.
Le 01 Février 2017: Pour résister à Cisco et Huawei, Juniper revoit ses switchs et services cloud
Pour renforcer ses offres cloud, Juniper livre des switchs et un nouveau logiciel d'infrastructure pour rivaliser avec Cisco et Huawei.

Juniper Network renforce ses solutions sur le marché des infrastructures cloud. L’entreprise livre cette semaine de nouveaux logiciels, commutateurs et services destinés à aider les clients à transformer leurs environnements d'entreprise dans le cloud. L’entreprise a introduit ce qu'elle appelle le troisième pilier de son architecture Unite, les deux précédents étant axés sur les entreprises et les réseaux de filiales. Unite Cloud simplifie la gestion et la croissance du cloud d'entreprise en associant des commutateurs et des logiciels maisons. « Les clients évoluent rapidement vers des environnements cloud hybride. Unite Cloud peut leur permettre de relever plus facilement ce défi en leur offrant les outils nécessaires pour gérer les environnements publics, privés, hybrides et multi-cloud », a déclaré Scott Miles, directeur senior Cloud & Enterprise de Juniper. « Le framework permet aussi de migrer d'un type de Cloud à un autre, de mettre en œuvre des politiques communes et de conserver un mode de fonctionnement identique dans l'entreprise », a-t-il ajouté